Regards sur Micberth - Mot-clé - Bernard TapieCe site est consacré à M.-G. Micberth (1945-2013) : sa vie, son œuvre, sa pensée.2024-03-18T20:50:19+01:00urn:md5:ac4b6ea9a30e8880b48c8c986eb72543DotclearNanar, le retour ?urn:md5:7de26c39ec6a7dcbcd9b003a7d7efe032015-12-27T19:19:00+00:002015-12-27T19:29:58+00:00AMHumeur du jourAlain DelonBernard TapieJonathan SwiftLa Lettremicberth <p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS"><a href="http://www.20minutes.fr/dossier/bernard_tapie">Bernard Tapie</a> revient en politique. Info ou
intox ? Cela fait un sacré bout de temps qu’il est sur les planches et
revient de temps à autre nous faire un petit « coucou ». Pour ceux
qui l’auraient oublié (ou qui n’étaient pas nés), rappelons que personnalité
médiatique fort populaire et générateur d’audience dans les années 1980, il fut
nommé « homme de l’année » en 1984. Adulé des jeunes, il était
également le 2<sup>e</sup> chouchou de ces dames (après Alain Delon, quand
même !).</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS">Alors, pourquoi malgré tous ses efforts,
Micberth ne fut-il jamais sensible à l’aura <em>tapienne</em> ?
Il l’explique dans son édito de « <st1:personname productid="La Lettre" w:st="on">La Lettre</st1:personname> » n° 7 (journal pamphlétaire
paru en avril 1985) :</span></p>
<p class="MsoNormal" align="center" style="text-align:center;text-indent:14.2pt"><strong><span style="font-size:13.0pt;font-family:
TimesNewRomanPS">Tapie se rit</span></strong></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><em><span style="font-family:TimesNewRomanPS">« Pourquoi
Bernard Tapie me laisse-t-il un malaise ? Impossible à dire. Il est beau
bien que constamment défiguré par des tics nerveux ; intelligent, car le
seul industriel français à ne pas se contenter de regarder les images des
illustrés mais à lire aussi la calligraphie des phylactères sans s’aider
nécessairement du gras du pouce pour ânonner les syllabes ; riche, très
riche, il fait tout pour que cela se sache et pourquoi pas ?</span></em></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><em><span style="font-family:TimesNewRomanPS">« Je
déteste plus que tout la laideur, la bêtise et la pauvreté. La beauté des
autres m’illumine, leur intelligence me comble et leur fortune me réjouit. J’ai
ce travers de n’avoir jamais éprouvé la moindre jalousie pour celui que le
destin a particulièrement choyé. Ma simple philosophie me conduit à penser que
si tous les hommes étaient pourvus, le cloaque de ce bas monde aurait plutôt
tendance à s’assainir.</span></em></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><em><span style="font-family:TimesNewRomanPS">« Regarder
en bas comme le penseur Jésus me donne le vertige : la pensée vole, la
merde tombe.</span></em></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><em><span style="font-family:TimesNewRomanPS">« La
fortune de Tapie me paraît de l’esbroufe, son esprit, prisonnier d’un silo en
béton armé et sa beauté m’évoque le catalogue de <st1:personname productid="La Redoute" w:st="on">La Redoute</st1:personname> ou des Trois
Suisses, rayon slips messieurs. Du look oui, mais du charisme, point. Il y a du
vulgaire en lui. Il s’illustre par cet aphorisme tiré de </span></em><span style="font-family:TimesNewRomanPS">Directions to servants<em> de <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Jonathan_Swift">Jonathan Swift</a> : </em>« L’ambition souvent fait accepter
les fonctions les plus basses : c’est ainsi que l’on grimpe dans la même
posture que l’on rampe. »<em> Fermez le
ban !</em></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><em><span style="font-family:TimesNewRomanPS"> </span></em><span style="font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt;">Pensez-y lorsque vous feuilleterez les
catalogues en question... </span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt;"><img src="http://micberth.org/dotcl/public/.la_lettre_avril_1985_m.jpg" alt="la_lettre_avril_1985.jpg" style="margin: 0 auto; display: block;" /><br /></span></p>Définitions, aphorismesurn:md5:f83b9f9c726cddfe66e12874f21c82602013-05-30T22:14:00+01:002017-01-21T15:16:12+00:00AMDicoaphorismesBernard TapieFrançois MitterrandJean RoyerJulio IglesiasJérôme DuhamelMicberthNicolas SarkozyPablo Picasso <p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><strong><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">IGLESIAS (Julio)</span></strong></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">« J’aime Iglesias parce qu’il a su, mieux que personne, imposer son caca vocal, comme une religion planétaire et surtout parfaitement le vendre. L’incendie planétaire des culs à éteindre est un créneau comme un autre. Le fléau est universel. » (Micberth <em>in L’Echo des savanes, </em>avril 1985)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: Tahoma; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; FONT-SIZE: 10pt"><!--?xml:namespace prefix =" ""o" /--><o:p> </o:p></span><strong><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma">INTELLIGENCE</span></strong></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma">« Fourier, Marx et Freud n’ont pas fait leurs preuves. Si la technologie a connu un essor prodigieux, l’intelligence a stagné. Quelle distance sépare Sartre de Platon, infime, pour ne pas dire inexistante ? » (Micberth, <em>Pardon de ne pas être mort le 15 août 1974</em>, dactylogramme 1977)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><strong><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS"> </span><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">MASSE</span></strong></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">Le gouvernement, les partis politiques, les syndicats parlent de la sagesse des Français. Quelle foutrerie ! Dialectique dormitive. Qu’il est doux de régner sur une masse qui ronfle, qui se laisse pourrir ses gosses, dauffer ses filles, voler ses biens ; qui accepte la jargonaphasie d’une poignée d’excités engraissés dans des universités foutoires ; qui porte au pinacle ses voleurs et ses assassins et qui ricane de la détresse des victimes suppliciées. (Micberth in <em>Minute </em>10-16 avril 1974)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><strong><span style="TEXT-TRANSFORM: uppercase; FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS"> </span><span style="TEXT-TRANSFORM: uppercase; FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">Médias</span></strong></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="TEXT-TRANSFORM: uppercase; FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">« </span><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">Nous mijotons dans l’intolérable. Chaque jour, les mass-media nous apportent les miasmes du grand tas d’ordures. L’odieux est couronné et les sujets féaux baissent davantage la tête. » (Micberth <em>in Minute</em> du 10-16 avril 1974)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS"> </span><strong><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">MITTERRAND (François)</span></strong></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">« J’ai honte de son physique de prélat pervers ou de gluant florentin, de ses manières onctueuses de sodomite incontinent, de sa posture de potiche peinturlurée ou de momie enclose derrière une vitrine sale, de sa dialectique qui évoque les momeries d’un tribun de sous-préfecture, de toute la détestable médiocrité qui se dégage de son image télévisée et qui fait penser au « parrain » d’une quelconque association de malfaiteurs. On aura compris que je n’aime pas M. Mitterrand. » (Micberth<em> in Dictionnaire des injures littéraires</em> de Pierre Chalmin<em>, </em>2012)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: Tahoma; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; FONT-SIZE: 10pt"><o:p> </o:p></span><strong><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma">PEUPLE</span></strong></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma">« N’importe quel con peut se retrouver à la tête d’un pays. Plus un type est sournois et plus le peuple l’acclame. Le désarroi actuel nous fait vivre sur une véritable poudrière. » (Micberth <em>in Actual-Hebdo </em>n° 31, 11 août 1973).<span class="apple-converted-space"> </span></span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><strong><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS"> </span><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">PICASSO (Pablo)</span></strong></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">« Il écrivait, jouait la comédie, composait des vers, chantait, grattait la guitare. Et malgré tous ses efforts, il ne parvint jamais à se faire un vrai nom dans l’une ou l’autre de ces formes d’art. » (Micberth <em>in Le Grand Méchant Dictionnaire, </em>de Jérôme Duhamel, 1985)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: Tahoma; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; FONT-SIZE: 10pt"><o:p> </o:p></span><strong><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma">PO<span style="TEXT-TRANSFORM: uppercase">é</span>SIE</span></strong></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma">« A force de vanité et d’hermétisme, nos « grands » poètes contemporains ont tué la poésie. Cet art, fait pour la vive lumière ou les sommets étoilés, survit aujourd’hui difficilement dans les catacombes. » (Micberth <em>in Histoire locale</em>, printemps 1998)</span></p>
<p class="MsoNormal"><strong><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS"> </span><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">POUVOIR</span></strong></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span class="usercontent"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma">« Le pouvoir est toujours immoral, arbitraire, dissimulateur, illégal. Et les ceusses qui s’indignent aujourd’hui ne s’ennuient pas de scrupules, les salauds. Ils oublient que leurs petites complicités par omission ou neutralité ont provoqué ce qui les dérange présentement. Il n’y a pas plus politique que le fait de prétendre l’ignorer. » (Micberth <em>in Actual-Hebdo</em>, 12 mai 1973)</span></span><span class="apple-converted-space"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: gray; mso-bidi-font-family: Tahoma"> </span></span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: Tahoma; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; FONT-SIZE: 10pt"><o:p> </o:p></span><strong><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma">PR<span style="TEXT-TRANSFORM: uppercase">é</span>SIDENT DE <!--?xml:namespace prefix =" ""st1" /--><st1:personname w:st="on" productid="LA RéPUBLIQUE">LA R<span style="TEXT-TRANSFORM: uppercase">éP</span>UBLIQUE</st1:personname></span></strong></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma">« Le président de <st1:personname w:st="on" productid="la République">la République</st1:personname> française est un imbécile. Il vient de le confirmer à l’occasion de sa courte prestation télévisée. » (Micberth <em>in Le Monde</em> du 22 septembre 1982)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><strong><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS"> </span><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">ROYER (Jean)</span></strong></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">« Un petit malade répugnant, serré sur ses hémorroïdes. » (Micberth <em>in Dictionnaire des injures politiques, Le Crapouillot, </em>1977)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><em><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS"> </span></em><strong><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">SARKOZY (Nicolas)</span></strong></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma">« Je suis un Breton d'expression française, d'abord un Breton, ensuite un Français. J'ai publié <st1:metricconverter w:st="on" productid="5 000 livres">5 000 livres</st1:metricconverter> pour faire connaître mon pays d'adoption, ses racines. Je n'ai plus assez de temps pour reconstruire. Ma haine totale du peuple souverain, on la comprendra, ce soir. Ce pauvre Sarko a eu la grandeur de sa faiblesse. » (Micberth, 6 mai 2012)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><strong><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma"><o:p> </o:p></span><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma">SOCIALISTE</span></strong></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma">« Le socialiste n’est pas un méchant garçon. C’est une manière de poète, une tendre évanescence, un impondérable, un ectoplasme ou un leurre. Il croit que le monde est bon et qu’il suffit de tirer les oreilles aux vilains profiteurs pour que ceux-ci, touchés par la grâce, acceptent de tomber à genoux devant l’autel de la convivialité. Le socialiste, dans sa grande candeur, croit à l’égalité. Il croit en un peuple grisé de rires et de chants, confortablement assisté de la naissance jusqu’à la mort. » (Micberth in « <em>Prout, caca, boudin ou l’Etat socialo-communiste</em> », allocution télévisée diffusée sur FR3, Tribune libre du 8 avril 1982)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: Tahoma; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; FONT-SIZE: 10pt"><o:p> </o:p></span><strong><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma">TAPIE (Bernard)</span></strong></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma">« La fortune de Tapie me paraît de l’esbroufe, son esprit, prisonnier d’un silo en béton armé et sa beauté m’évoque le catalogue de <st1:personname w:st="on" productid="La Redoute">La Redoute</st1:personname> ou des Trois Suisses, rayon slips messieurs. Du look oui, mais du charisme point. Il y a du vulgaire en lui. » (Micberth <em>in <st1:personname w:st="on" productid="La Lettre">La Lettre</st1:personname></em>, avril 1985)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma"><o:p> </o:p></span><strong><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma">VIE</span></strong></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma">« Merde aux lois temporelles qui assèchent le coeur des hommes. Merde aux autorités qui détiennent, merde à la culture qui conditionne. La vie est multiforme avec plein de couleurs et de bruits jolis, plein d’émerveillements sous les pas. Le paradis, c’est ce que nous foulons sous nos semelles tous les jours. L’enfer c’est ce qu’en font les cons alentour, les gros majoritaires et même les petits contestataires merdeux. » (Micberth, <em>Le Pieu chauvache</em>, éd. 2002)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma"><br /></span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma"><em style="color: rgb(34, 34, 34); font-family: "Gill Sans MT"; font-size: 16.032px;">Pour retrouver les citations micberthiennes, cliquer sur <a href="http://micberth.org/dotcl/admin/post.php?id=146" style="color: rgb(104, 104, 103);">Dico</a>. </em></span></p>