Regards sur Micberth - Mot-clé - CNRSCe site est consacré à M.-G. Micberth (1945-2013) : sa vie, son œuvre, sa pensée.2024-03-18T20:50:19+01:00urn:md5:ac4b6ea9a30e8880b48c8c986eb72543DotclearLes « bons médecins »urn:md5:bcc934850cf413339926b55ab30625ae2016-07-12T20:58:00+01:002020-03-28T09:29:23+00:00AMIci et làActual-HebdoantibiothérapieAsudamchercheurCNRSConseil de l Ordrelaboratoires privésLouis PasteurMicberthmédecinmédecinePierre Desgraupesprix Nobelprofesseur Joyeuxprofesseur Monodrecherche françaisevaccinsVademecum <p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><em style="text-indent: 14.2pt;"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« Le premier
qui dit la vérité, il doit être exécuté », comme le chante le poète. C’est
ainsi que l’Ordre des médecins vient de radier <a href="http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/07/12/97001-20160712FILWWW00046-radie-de-l-ordre-le-pr-joyeux-va-faire-appel.php">le professeur Joyeux</a> pour ses
prises de position contre les vaccins qui pourraient « discréditer le
mécanisme de vaccination préventive » </span></em><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">(sic).<em> Le discours alarmiste du médecin vilipendé
me rappelle celui de Micberth dans les années 1970. Il s’insurgeait alors
contre la vaccination obligatoire des enfants pouvant créer d’importants
préjudices. Et il dénonçait la mainmise de l’industrie pharmaceutique sur la
médecine. Dans le texte suivant, publié en 1973, il met les points sur les
« i » et donne un point de vue marqué au coin du bon sens. On
constatera que les choses n’ont guère évolué en quarante ans, si ce n’est la
possibilité, pour tout un chacun, de se documenter sur la maladie, de poser des
questions, de ne pas rester dans l’ignorance. Et cette démarche, Micberth la
prônait, comme on pourra le constater dans cet article. Il souhaitait que chacun puisse avoir les connaissances médicales de base pour faire face à la maladie et mieux se battre. Je rappelle qu’en 1973
Internet n’existait pas et que, pour comprendre ses « bobos », le patient devait ouvrir les dictionnaires médicaux ou les magazines spécialisés. Frousse
de mourir garantie !</em></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;"><o:p><img src="http://micberth.org/dotcl/public/.Vaccination3_s.jpg" alt="Vaccination3.jpg" style="margin: 0 auto; display: block;" /></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« La recherche médicale internationale est une vaste
affaire commerciale, ni plus ni moins. L’intervention des chercheurs purs,
honnêtes et isolés, ne signifie plus rien. Le coût de l’appareillage
technologique qu’il faut aujourd’hui posséder pour avancer plus loin, ne peut être
supporté que par des instituts de recherche de dimension nationale et
internationale.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« Ainsi, ne comptez pas jouer vos <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_Pasteur">Pasteur</a> dans un
laboratoire aménagé dans votre penderie. Vous vous gourreriez.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« Si un jour cela vous tente, je développerai plus à
fond le problème avec des exemples. Aujourd’hui je me contenterai de vous
énumérer ce qui me démange :</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« 1. La recherche française est composée de centaines de
jeunes couillons parfaitement incapables d’entreprendre des démarches
sérieuses, tout juste bons à tenir des éprouvettes, et encore.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« 2. Le <a href="http://www.cnrs.fr/">CNRS</a> est embourbé dans un gauchisme impuissant
et destructeur.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« 3. On favorise criminellement les sciences humaines,
mode passagère, au détriment des sciences exactes ou naturelles.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« 4. Les laboratoires n’ont de respect que pour leurs
intérêts et diffusent sur le marché des produits qui, certes, vous sortent rapidement
de là, mais qui bousillent définitivement vos métabolismes, et mettent en
danger votre descendance.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« D’autre part, toutes les saloperies virales et
bactériennes se renforcent, deviennent résistantes aux antibiotiques. Ainsi à
chaque fois que vous posez les pieds dans un hôpital pour vous faire réparer
d’une affection bénigne, vous êtes en danger de mort.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« 5. La complicité criminelle des scientifiques et des
médecins avec la production alimentaire, toujours pour des raisons de lucre, de
plus en plus chargée de produits nocifs.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« 6. L’<a href="http://www.aquaportail.com/definition-4044-antibiotique-a-large-spectre.html">antibiothérapie</a> à large spectre qui prend au col
la maladie dans sa période d’incubation, avant même que le médecin ait pu en
diagnostiquer les effets, maladie écrasée dans l’oeuf qui resurgit sous une
autre forme, dans un autre endroit, pour vous régler votre compte
définitivement. Organisation bourgeoise autocratique et débile de la médecine
générale qui laisse aux seuls artisans le droit de disposer de votre vie.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« Prenons un exemple : si vous souffrez d’une
affection vicieuse, allez vous faire ausculter par trois ou quatre médecins
différents. Vous obtiendrez trois ou quatre diagnostics différents et trois ou
quatre traitements antagonistes, etc., etc., etc.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« Nous pourrions en imprimer des pages entières. Ne
croyez surtout pas que ces lignes révolteront les « bons médecins »
– Il y en a. C’est souvent eux qui ont dénoncé toutes ces carences et ces
ignominies. Mais la médecine s’exerce sous des schémas d’autorité
moyenâgeux : le <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Conseil_de_l%27Ordre_des_m%C3%A9decins_en_France">Conseil de l’Ordre </a>tout puissant qui impose sa dictature,
ou le patron d’hôpital qui fait supporter sa débilité des générations durant.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« Comme vous tous, j’ai eu dans ma famille des personnes
sauvées par des médecins consciencieux et généreux ou par des chirurgiens
désintéressés et habiles. Qu’ils soient remerciés et bénis.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« Mais tous les autres ? Cette cohorte de cons qui
sont médecins parce que papa l’était, qui ont réussi leurs examens parce que de
l’hypermnésie leur permettait de réciter par coeur le <a href="http://www.ccffmg.be/le-vademecum/">Vademecum</a>. Tous ceux-là
sont des dangers publics.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« Comprenons qu’il n’y a pas l’intelligence, mais des
intelligences et qu’un <a href="http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/les-prix-nobel_1721324.html">prix Nobel</a> peut être moins intelligent qu’un petit
cordonnier de province. Tant qu’on ne se sera pas mis ça dans la tête, rien
n’ira. Tout marchera de traviole.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« Notre médecine est pourrie : deux mecs arrivent,
prêts à crever. Une seule chambre stérile, un seul rein artificiel, un choix à
faire. Qui d’après vous sera choisi ? Le petit étudiant brillant ou le
gros marchand de vaches ? Vous avez gagné, c’est le gros marchand de
vaches. Le petit étudiant débile, fils de la maîtresse du professeur, ou le
gros marchand de vaches ? Vous avez encore gagné, c’est le petit étudiant
débile. Et ainsi de suite. (...)</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« Solution pratique et non utopique : le <a href="http://www.ijm.fr/institut/biographie/">professeur
Monod</a> envoie une circulaire à tous les chercheurs français, leur demandant
d’interrompre immédiatement leurs activités. Il convoque dans une assemblée
générale « les chercheux » et leur dit : « Asudam nous a
donné la voie. A partir d’aujourd’hui nous serons honnêtes et ne travaillerons
que dans l’intérêt du plus grand nombre. Chaque chercheur ayant prouvé sa bonne
volonté, et capable d’envoyer un jet de salive à trois mètres au moins, sera
gratifié de tant de millions et poursuivra librement ses travaux. Toute nouvelle
découverte sera immédiatement communiquée à l’ensemble des chercheurs du monde
entier. Aucun d’entre nous ne fournira ses travaux au monde des trusts. Aucun
d’entre nous ne cautionnera les laboratoires privés ou les chaînes
alimentaires. Périodiquement à la télévision nous expliquerons aux Français le
fruit de nos recherches. Nous leur dirons ce qu’ils mangent, ce qu’ils
respirent, ce qu’ils absorbent, soi-disant pour les guérir. Si le gouvernement
nous contraint, nous demanderons au peuple français de changer de gouvernement.
Nous éditerons à l’Imprimerie nationale, chaque jour, un organe dans lequel
nous expliquerons comment mieux vivre grâce aux connaissances acquises. Cet
organe sera distribué gratuitement par les pouvoirs publics. Dès l’école
maternelle nous formerons scientifiquement les jeunes Français par les méthodes
audiovisuelles. Nous leur apprendrons les symptômes essentiels et les
médications d’urgence qui ne font courir aucun risque, l’art du diagnostic et
des petites thérapies. Nous leur ferons pénétrer l’intérieur de leur corps et
de leurs viscères, et nous ne chargerons pas <a href="http://www.lesechos.fr/18/08/1993/LesEchos/16456-075-ECH_pionnier-de-la-television-publique--pierre-desgraupes-est-mort.htm">M. Desgraupes</a> de ce faire. Nous
n’estimerons plus que les Français sont incapables d’entendre les lois et
principes de la médecine générale. Nous sommes conscients que les sciences
exactes peuvent être reçues par les plus cons – regardons-nous. Et nous
leur sauverons la vie. Enfin, nous ne laisserons rien au hasard, réglant notre
conscience sur la nécessité.</span></p>
<p class="MsoNormal" align="right" style="text-align:right;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« <em>Signé</em> :
Monod. »</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« <span style="text-transform:uppercase">ç</span>a
s’rait chouette, non ? Et puis si ça réalisait, vous m’enverriez des
ronds. Je deviendrais riche. J’embaucherais Monod pour tondre ma pelouse. Je
ferais exprès de tomber malade pour avoir le plaisir d’être guéri. Je
m’offrirais un grand clystère. J’irais vous rendre visite, un par un, et vous prodiguerais
mes soins attentifs et secrets.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« Bonne nuit les petits enfants. » </span><span lang="EN-GB" style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">(Micberth-Asudam in <em>Actual-Hebdo</em> n°22, samedi 12 mai 1973)</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span lang="EN-GB" style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;"><o:p> </o:p></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span lang="EN-GB" style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;"><o:p> </o:p></span></p>La grande manip !urn:md5:e94e7a743af499a0eede0e14285c1c742014-08-10T19:24:00+01:002014-08-10T19:38:17+01:00AMIci et làARDCNRSFNFrançois MitterrandführerGeorges MarchaisGRECELe Nouveau PalMgr Ducaud-BourgetMicberthMundialNDFNouvelle Droite françaisePFNPierre SergentProf. Dr Patrick MoreauSciences poTribune libre <p style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:justify;text-indent:14.2pt;
background:white"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;">Lorsque la première chaîne de télévision allemande
nous sollicite par lettre en décembre 1981 pour participer à une émission sur
le thème : « L’opposition nationale en France après l’arrivée au
pouvoir de François Mitterrand et l’installation de la coalition
socialo-communiste », c’est avec plaisir que nous répondons à
l’invitation. L’émission doit être réalisée par Marline Krebs, le Dr Patrick
Moreau étant habilité à « prendre les contacts nécessaires à la
préparation des interviews et du synopsis de cette émission ». Alors
chargée du service de presse de <st1:personname productid="la Nouvelle Droite" w:st="on"><st1:personname productid="la Nouvelle" w:st="on">la Nouvelle</st1:personname>
Droite</st1:personname> française, je prends donc contact avec <em>herr doktor</em> pour organiser le tournage en
mars 1982 avec M.-G. Micberth, directeur du bureau politique. La conversation
avec Patrick Moreau me laisse un malaise et m’inquiète beaucoup. Renseignements
généraux ? Ecoutes téléphoniques ? Nous sommes rôdés aux méthodes...
Pourtant, le garçon connaît Micberth par coeur : sa vie dans les moindres
détails (même très personnels), ses derniers faits et gestes, l’identité de
tous ses proches, ses amis et ses collaborateurs. Il est alors titulaire d’un
doctorat de philosophie et d’histoire délivré par <st1:personname productid="la Sorbonne" w:st="on">la Sorbonne</st1:personname> (d’où le titre
Dr) et fréquente Sciences Po.</span></p>
<p style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:justify;text-indent:14.2pt;
background:white"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;">Dans sa lettre, la télévision berlinoise précise :
« Cette émission, composée d’interviews des responsables ou animateurs des
forces parlementaires (partis, groupes et mouvements disposant ou non d’élus à <st1:personname productid="la Chambre" w:st="on">la Chambre</st1:personname>) et
extra-parlementaires (groupes à vocation culturelle, sociale ou spirituelle et
associations d’anciens combattants), portera plus spécifiquement sur la
question du « communisme » en France (idéologie et activités
nationales et internationales) et sur les perspectives d’actions politiques de
l’opposition nationale. »</span></p>
<p style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:justify;text-indent:14.2pt;
background:white"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;"><br /></span></p>
<p style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:justify;text-indent:14.2pt;
background:white"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;"><img src="http://micberth.org/dotcl/public/.ard_s.jpg" alt="ard.jpg" style="margin: 0 auto; display: block;" /><br /></span></p>
<p style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:justify;text-indent:14.2pt;
background:white"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;">Lorsque l’équipe débarque pour le tournage, l’ambiance
n’est pas vraiment sereine. Je suis morte d’angoisse, ne sachant trop qui à qui
j’ouvre la porte. Patrick Moreau est là, énigmatique (béret sur la tête,
petites lunettes rondes cerclées d’acier. Pas vraiment le look baba cool). De
plus, il fait un froid de gueux (Nous sommes en Picardie, hé, hé). Jusqu’au
dernier moment, j’ai proposé à M.-G. Micberth de tout annuler mais il a refusé.
Alors, pour me rassurer, tout le temps de l’interview, il aura un revolver
caché sous le coussin de son fauteuil. Précaution sans doute inutile, mais...
Le tournage se passera très bien, et la journée se terminera fort tard, autour
d’une table, à boire force pintes d’un mélange de bière et d’eau-de-vie (de
toutes natures : pomme de terre, blé, poire, cerise, prune, pomme,
raisin...). Micberth, stupéfait, épuisera toutes ses réserves d’alcool pour
étancher la soif germaine. </span></p>
<p style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:justify;text-indent:14.2pt;
background:white"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;">La diffusion de l’émission sur la première chaîne de
télévision allemande, d’abord prévue début juin, sera repoussée au 25 juin
1982, en raison du Mundial, ce qui ne laissera pas d’énerver Micberth. Pour
preuve, le texte ci-dessous :</span></p>
<p style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:justify;text-indent:14.2pt;
background:white"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;"><o:p> </o:p></span></p>
<p align="center" style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:center;
background:white"><strong><span style="font-size: 13pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;">Hans et Greta</span></strong></p>
<p style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:justify;text-indent:14.2pt;
background:white"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;"><o:p> </o:p></span></p>
<p style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:justify;text-indent:14.2pt;
background:white"><em><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;">« J’ai
contraint ma secrétaire à me labourer la poitrine de ses belles mains
manucurées. Signe de désespoir. Les halls de <st1:personname productid="la NDF" w:st="on">la NDF</st1:personname> résonnent de mes bruits de bottes rageurs. On
m’entend dire pis que pendre du football et des boches. Hans et Greta allaient
enfin goûter Micberth, produit politique qui n’est malheureusement réservé
jusqu’ici qu’aux franchouillards de la troisième chaîne. Les hordes de uhlans
allaient découvrir un führer digne du chancelier Adolphe. Et crac ! Le
Mundial les prive de la divine surprise ! <span style="text-transform:
uppercase">ç</span>a devait s’appeler « Konservativ oder radikal » et
être télédiffusé à 20 h 15 – grande écoute – sur ARD, c’est-à-dire la
première chaîne de télévision allemande. On y aurait vu votre serviteur, le
menton bleui par la jugulaire, déambuler dans les allées de son beau château
picard, ses bas-rouges écumants prêts à bouffer du serf. J’y avais mis le
paquet – sottement d’ailleurs.</span></em></p>
<p style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:justify;text-indent:14.2pt;
background:white"><em><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;">« Devant une
équipe boche secouée de frénétiques frissons de ravissement, j’avais, face aux
caméras, fait sauter à l’aide de ma winchester les trognes en latex de
Mitterrand et Marchais.</span></em></p>
<p style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:justify;text-indent:14.2pt;
background:white"><em><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;">« Puis, plus
tard, devant un feu de cheminée, calé dans un fauteuil Louis XV (pas d’époque,
hélas !), un verre de Perrier d’Epernay à la main, j’avais fait
l’intelligent en expliquant doctement, par le menu, les grandes idées qui
agitent le monde.</span></em></p>
<p style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:justify;text-indent:14.2pt;
background:white"><em><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;">« Tout comme
en France, les programmes allemands ont choisi de différer les émissions
politiques au profit des retransmissions du Mundial. Je ne sais si je dois m’en
réjouir ou m’en plaindre. Mes clowneries ont pu inspirer la réalisatrice
allemande qui m’a peut-être présenté aux téléspectateurs allemands comme un
vrai gugusse. » (Micberth in <a href="http://micberth.org/index.php?post/2013/05/24/BIBLIOGRAPHIE">« Le Nouveau Pal »</a> n° 15)</span></em></p>
<p style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:justify;text-indent:14.2pt;
background:white"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;"><o:p> </o:p></span></p>
<p style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:justify;text-indent:14.2pt;
background:white"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;">Quelques semaines plus tard, l’enregistrement de
l’émission complète sur cassette vidéo nous parviendra. Stupeur ! D’entrée
le commentateur annonce la couleur : « Pourquoi cet engouement
soudain pour l’extrême droite ? » Sont interviewés <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Ducaud-Bourget#Biographie">Mgr Ducaud-Bourget</a>
(catholique tradi), <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Sergent">Pierre Sergent</a> (para), divers dirigeants et militants du
<a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Front_national_(parti_fran%C3%A7ais)">Front national</a>, de l’<a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Sidos">Oeuvre française</a>, du <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_des_forces_nouvelles_(France)">Parti des Forces nouvelles</a>, du <a href="http://grece-fr.com/">GRECE</a>,
M.-G. Micberth étant le dernier à intervenir au nom de <st1:personname productid="la Nouvelle Droite" w:st="on"><st1:personname productid="la Nouvelle" w:st="on">la </st1:personname></st1:personname><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvelle_Droite_fran%C3%A7aise"><st1:personname productid="la Nouvelle Droite" w:st="on"><st1:personname productid="la Nouvelle" w:st="on">Nouvelle</st1:personname> Droite</st1:personname> française</a>. Le
thème de l’émission était pourtant bien : « L’opposition nationale en
France, définie par les responsables des forces parlementaires et
extra-parlementaires ». Un piège pour tous les intervenants ! Le
commentateur ne cessera de répéter en boucle sur les enregistrements les mots <em>extrême droite, raciste, antisémite, fasciste, antidémocratique</em>. « Mon racisme
est un racisme intellectuel », explique Micberth, « Je préfère un
Bantou intelligent à un Breton con. Je n’ai pas de préjugés racistes. »
Peine perdue ! L’émission se terminera sur la conclusion suivante : l’ancienne et
la nouvelle droite sont en train de tracer la voie vers un régime autoritaire. Que se passera-t-il pour <st1:personname productid="la France" w:st="on">la France</st1:personname> si Mitterrand rate
son coup ? (Nous sommes en 1982.)</span></p>
<p style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:justify;text-indent:14.2pt;
background:white"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;">Ou comment, en bon média, on peut grossièrement
manipuler le téléspectateur !</span></p>
<p style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:justify;text-indent:14.2pt;
background:white"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;">Nous nous sommes souvent demandé pourquoi le <a href="http://de.wikipedia.org/wiki/Patrick_Moreau">Prof. Dr Patrick
Moreau</a> était venu interviewer Micberth, pour qui il
travaillait. Après réception de la cassette, je n’eus aucune possibilité de le
joindre à nouveau (pour le « remercier ») : il répondait aux
abonnés absents. Aujourd’hui, Internet me donne quelques éléments de réponse. Docteur
en histoire et en sciences politiques, directeur de recherche au CNRS, le jeune
homme est devenu un politologue distingué, passionné par l’extrême droite,
auteur de nombreux livres sur le communisme et les extrémismes en Europe. On le
trouve aussi sur <a href="http://www.european-security.com/n_index.php?id=4722">European-security.com</a>. Tiens, tiens...</span></p>
<p style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:justify;background:white"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;"><o:p><br /><img src="http://micberth.org/dotcl/public/.ARD4_s.jpg" alt="ARD4.jpg" style="margin: 0 auto; display: block;" /></o:p></span></p>
<p align="center" style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:center;
background:white"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;"><br /></span></p>
<p align="center" style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:center;
background:white"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;"><a href="http://www.dailymotion.com/video/xqf5lw_micberth-a-la-television-allemande_news">« Konservativ oder radikal » sur Dailymotion</a></span></p>
<p align="center" style="margin:0cm;margin-bottom:.0001pt;text-align:center;
background:white"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background-image: initial; background-attachment: initial; background-size: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-position: initial; background-repeat: initial;">Interview de M.-G. Micberth diffusée sur ARD le 25
juin 1982</span></p>L'omelette radioactiveurn:md5:56cd448e5098bbacfc167146c81b75ef2013-08-25T10:36:00+01:002016-07-09T16:39:57+01:00AMIci et làActual-HebdoCNRSColucheFrançois MitterrandHarlem DésirhôpitalJean-Marie Le PenmaladieMicberthmédecinsMégalo <p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white"><img src="http://micberth.org/dotcl/public/Diafoirus4.jpg" alt="Diafoirus4.jpg" style="float: left; margin: 0 1em 1em 0;" />Comme chaque année, la
presse publie la liste des meilleurs hôpitaux de France, histoire pour le
malade de bien savoir où il met les pieds. M.-G. Micberth a souvent dit tout le
mal qu’il pensait du monde médical, de la recherche, dénonçant dès les années
1970 <em>« le gauchisme impuissant et
destructeur » </em>du CNRS, les laboratoires <em>« qui n’ont de respect que pour leurs intérêts »</em>, les
dangers de l’antibiothérapie ou la <em>« maladie
écrasée dans l’oeuf qui resurgit sous une autre forme, dans un autre endroit,
pour vous régler votre compte définitivement »</em>, l’incompétence des
médecins, les opérations inutiles, etc.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white">Quant à l’hôpital... <em>« Toutes les saloperies virales et
bactériennes se renforcent, deviennent résistantes aux antibiotiques. Ainsi à
chaque fois où vous posez les pieds dans un hôpital pour vous faire réparer
d’une affection bénigne, vous êtes en danger de mort »</em>. (Voir <em>Actual-Hebdo</em> du 12 mai 1973)</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white">Qui a dit infection nosocomiale
(définie la première fois en octobre 1988 dans une circulaire du ministère de <st1:personname productid="la Sant←" w:st="on">la Santé</st1:personname>) ? </span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white"><o:p> </o:p></span><span style="background-color: white; font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt;">Le texte qui suit est un
extrait du billet écrit par Micberth le 18 janvier 1990. Il avait quitté sa
Picardie d’adoption dès potron-jaquet, pour aller à Paris déguster une omelette
radioactive à l’hôpital Saint-Louis (classé aujourd’hui 42</span><sup style="font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt;">e</sup><span style="background-color: white; font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt;"> au
tableau d’honneur des hôpitaux de notre beau pays). Délicieux !</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white"><o:p> </o:p></span></p>
<p class="MsoNormal" align="center" style="text-align:center;text-indent:14.2pt"><strong><span style="font-family:TimesNewRomanPS;
background:white">L’hôpital Saint-Louis</span></strong></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white"><o:p> </o:p></span><span style="background-color: white; font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt;">« On est venu me
servir un plateau de nourriture radioactive dans la salle d’attente. J’ai
demandé à Tine de partir faire quelques courses avec le chauffeur. Je ne voulais
pas qu’elle me vît bouffer leur merde dans la salle des pas perdus, entre trois
Maghrébins en djellaba et une Bantou entuyautée jusqu’au duodénum.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white">« Ce n’était pas si
mauvais que ça le petit steack haché avec l’omelette et un petit pain, du
beurre, de l’eau et pour dessert un grand bol de lait isotopique. Le plus
chiant étant d’avaler le tout au beau milieu de cette cour des miracles et à
jeun. Mais c’était un test ; étais-je si vaniteux que ça ? Ben, la
preuve que non, moi aussi je sais faire peuple quand je veux.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white">« Je n’étais que
sourire pour le petit Algérien qui, à coups de lattes, maltraitait mon
pantalon ; que tendresse du regard pour la grosse doudou qui essuyait la
sanie collante de son pansement sur le revers de son boubou. N’en revenant pas
moi-même, je me suis levé pour aller aux chiottes et me bien regarder dans la
glace. Bon, un Celte reste un Celte, il n’y a pas à tortiller, mais j’avais
l’air franchement moins raciste que Le Pen voire même qu’Harlem Désir.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white">« Je sors très peu
dans <st1:personname productid="la France" w:st="on">la France</st1:personname>
de François Mitterrand. Aujourd’hui, quelle étrange chose qu’une salle
d’attente d’hôpital... Quelle tour de Babel !</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white">« Je me suis amusé à
compter les cancéreux au teint jaune, les dames en chimio qui tirent sur leur
perruque. C’est un jeu comme un autre, un peu cruel et qui édifie sur la
miséricorde de Dieu. Un asiatique hépatique m’a involontairement fait
comprendre qu’on pouvait être encore plus jaune que jaune, comme dans le sketch
de Coluche.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white">« Une infirmière à la
bouche qui n’avait pas sucé que des allumettes a collé sous mes magnifiques
pectoraux des petits tampons radioactifs et hop, en avant pour la passionnante
épopée du tractus digestif de votre serviteur. J’avais sous les yeux mon
estomac en scintigraphie verdâtre et je conseille vivement aux jeunes filles
qui peuvent s’intéresser à la question de s’arrêter sur ma queue au naturel
plutôt que sur les images kinescopiques de mon bol alimentaire.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white">« Enfin, c’est un
avis tout personnel.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white">« Le petit manège a
duré de 8 h 45 à 12 h 30. Mieux que le Chaix. On saura tout sur le parcours de
la brandade de morue de mon oesophage jusqu’à mon ampoule rectale et même s’il
reste assez de protéines dans mes excréments pour les envoyer aux enfants du
tiers monde.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white">« J’ai retrouvé le
confort des sièges en cuir de ma voiture. Mon chauffeur avait poussé un petit
roupillon. Tine était là pour me verser le thé chaud préparé à l’aube,
amoureusement, par Virginie ; le croissant venait de chez un grand faiseur
parisien dont j’ai oublié le nom et qui voudra bien présentement me pardonner.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white">« J’ai souri en
pensant que j’allais emmerder tout <em>Mégalo</em>
avec mes banalités et qu’au fond pour un presque mourant j’avais vachement de
la chance d’être en aussi bonne santé. J’adore faire rire à mes dépens.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white">« J’étais tout
jouasse de retrouver le parc délaissé, les vapeurs picardes et la moiteur de ma
chambre. » </span><span lang="EN-GB" style="font-family:TimesNewRomanPS;
background:white;mso-ansi-language:EN-GB">(Micberth. </span><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white">Extrait du billet «
L’hôpital Saint-Louis » <em>in Mégalo</em> 18 janvier 1990)</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white"><o:p> </o:p></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white">Pour info, les meilleurs
billets de <em>Mégalo</em> ont été publiés
dans « <a href="http://histoire-locale.fr/Modules/recherche/pg_recherche_gen.php?CH_RECH=avancee&VILLE=&DEP=VIDE&CHX_VAL=micberth+et+les+gros+niqueurs&CHX=TITRE&Valid=RECHERCHER">Micberth et les gros niqueurs</a> ». Livre disponible chez <a href="http://histoire-locale.fr/Modules/recherche/pg_recherche_gen.php?CH_RECH=avancee&VILLE=&DEP=VIDE&CHX_VAL=Micberth&CHX=AUTEUR&Valid=RECHERCHER">Lorisse</a>
et ailleurs.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white"><o:p> </o:p></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white"><o:p> </o:p></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;background:white"><o:p> </o:p></span></p>