Regards sur Micberth - Mot-clé - Fabrice LittaméCe site est consacré à M.-G. Micberth (1945-2013) : sa vie, son œuvre, sa pensée.2024-03-18T20:50:19+01:00urn:md5:ac4b6ea9a30e8880b48c8c986eb72543DotclearCe qu'ils ont dit...urn:md5:0ea5ba25c675e96a79632fc0df0e97ac2018-01-01T16:07:00+00:002018-01-01T16:38:40+00:00AMIci et làA.D.G.Bertrand de Saint-VincentFabrice LittaméFrançois RichardGérard LechaHubert WayaffeIrène AndrieuJacques BéalJacques d ArribehaudeJean BoizeauJim ArcadeLaudelout (Marc)Martin PeltierMicberthMichel PolacOlivier MeuwlyPierre ChalminPierre Jean JouveSerge de Beketch <p class="MsoNormal" style="text-align:justify"><span style="background-">« Ce que je retiendrai surtout ce sont ses qualités de
coeur, cette merveilleuse faculté à encourager et à soutenir ceux qu’il
appréciait. » (Marc Laudelout in </span><em>Le Bulletin célinien</em><span style="background-">)</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify"><span style="
background:white">« Cet anarchiste de droite qui ne partage avec Karl Marx
qu’une longue chevelure et une barbe grisonnante garde toujours au fond de son
coeur une virulence du verbe qui l’a rendu célèbre comme pamphlétaire. »
(Fabrice Littamé in <em>L’Union</em>)</span></p>
<p class="MsoBodyText">« Les pronostics de cet anti-Chroron tombent
diablement juste... » (Irène Andrieu, « La France marginale »)</p>
<p class="MsoBodyText">« Je viens de dévorer « La Lettre », de
Michel-Georges Micberth, suite d’articles et de textes qui ont l’admirable
éclat d’une série de beignes appliquées à toute volée sur les faces de pitres,
de loufiats et de tarés qui règnent sur ce pauvre monde et mettent à l’abrutir
une opiniâtreté, une haine, une infamie dans la délation et le sournois
verrouillage juridique, qui rendrait aimable le souvenir de l’Inquisition. Dans
un monde à ce point asservi et rampant, la sainte colère de Micberth, son
ironie meurtrière, sont un réconfort, une bouffée d’oxygène, proprement
inestimables. » (Jacques d’Arribehaude in <em>Le Bulletin célinien</em>) </p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify"><span style="mso-bidi-background:white">« Une rencontre avec
Micberth est inoubliable ; on en ressort changé, qu’on le veuille ou non, les
points de repère <span class="textexposedshow">chancellent, l’horizon
multiplie ses dimensions, on a l’impression d’avoir été emporté, sans violence,
par un ouragan formidable. Restent aussi dans la tête des images tenaces, des
idées fraîches et neuves, de grands rires plantés dans la peau du
diable. » (François Richard, </span></span><span style="background-">« </span>Micberth, anarchiste de droite »)</p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify"><span style="
background:white">« Derrière le bureau de la bibliothèque, il dresse sa
haute stature jupitérienne. Raspoutine et Frère Jean des Entommeurs,
thaumaturge des niaiseries communes et pourfendeur d’institutions
picrocholines. Michel-Georges Micberth, Breton de sang, Tourangeau par
état civil, sanglé de cuir comme un corsaire et étolé d’un châle rouge comme un
prêtre paillard, nous ouvre son glossaire abominable. Il y a quarante ans qu’il
s’adonne au jeu de massacre verbal à la tronçonneuse. » (Jim Arcade
in <em>L’Echo des savanes</em>)</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify"><span style="
background:white">« L’absolu, dans sa spontanéité, compris comme
jaillissement de la vie, (...) très bakounien dans ses pulsions vitalistes,
trouvera son interprète le plus engagé dans Micberth, fondateur d’un mouvement
poétique en 1963, un mouvement destiné à faire vivre l’anarchisme de droite
comme facteur évolutif de la société. » (Olivier Meuwly, « Anarchisme
et modernité ») </span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify"><span style="
background:white"> « Anar, barbu et un rien mythique, (Michel) Georges
Micberth est ce qu’on appelle un rebelle absolu. Nous sommes allés le voir dans
son château, près de Paris. Personnage insolite, tonitruant, il nous a reçus
dans son salon. Sur la cheminée trônaient des peluches, offertes par ses
enfants... » (Bertrand de Saint-Vincent, « Les rebelles sont parmi
nous » in <em>Le Quotidien de Paris</em><span class="textexposedshow0">)</span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify"><span style="
background:white">« À Michel-Georges Micberth d'Autremencourt qui fut “mon
meilleur ennemi”, mon rival et mon frère par A.D.G., en signe tardif de
réconciliation et d'amitié. Avec mon admiration pour le magnifique combat qu'il
mène pour notre patrimoine. Fraternellement. » (Serge de Beketch, dédicace
de son « Dictionnaire de la colère »)</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify"><span style="
background:white">« La faculté d’indignation est le moteur de cet
aristocrate. » (Jacques Béal in <em>Le Courrier picard</em>)</span></p>
<p class="MsoBodyText">« Au premier contact, on lit de prime abord sur le
visage de cet homme une compréhension subtile des êtres et des choses et un
pouvoir d’attention assez frappant. Une calme assurance émane de sa personne en
toutes circonstances et une forte détermination, pour conduire quelque
entreprise que ce soit, marque aussi le poids d’une personnalité hors
pair. » (Gérard Lecha, « Micberth et le théâtre en question ») </p>
<p class="MsoBodyText">« Le Baudelaire de la poésie moderne. » (Pierre
Jean Jouve)</p>
<p class="MsoBodyText">« Le silence absolu qui a marqué la mort d’un homme
si singulier, d’un “aristocrate libertaire” authentique comme on s’est plu à le
définir, signe évidemment notre époque vouée à la canaille moutonnière. »
(Pierre Chalmin sur <em>Facebook</em>)</p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify"><span class="textexposedshow0"><span style="Les fidèles du <em>Crapouillot</em></span></span><em><span class=" textexposedshow0"=""> </span></span>«<em> <span <em="">La lettre de
Micberth</span></em>... Il y a un style extraordinaire... C’est très tonique... »
(Michel Polac sur « Droit de réponse », TF1)</p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="mso-bidi-background:white">« Remerciements à
Michel-Georges Micberth dont l’amitié m’a permis de retrouver les
copains. » (Hubert Wayaffe, « Qu’est-ce qu’on fera quand on sera
grand(s) ? »)</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;">« Aujourd’hui, Alain
Dégé Camille finit un gros feuilleton pour la Première Chaîne, l’adaptation de
« Chéri-Bibi » de Gaston Leroux, il a sept romans policiers derrière
lui, dont un porté à l’écran par Georges Lautner, il prépare une autre série de
feuilletons, il écrit un scénario original pour Michel Audiard, il bosse pour
Gallimard, Plon, Grasset, en bref, il ne débande pas. Tout cela parce qu’un
grand frère, un père, un ami, n’a jamais désespéré de lui, lui a appris à
écrire, l’a toujours aimé et souvent protégé. Cet homme s’appelle Micberth. <span lang="EN-GB">(A.D.G. in <em>Actual-Hebdo</em>)</span></p>
<p class="MsoNormal" style=" text-align: justify;"><span lang="EN-GB" style="background:white;mso-ansi-language:
EN-GB"><!--[if !supportEmptyParas]--> <img src="http://micberth.org/dotcl/public/.MGM1991_m.jpg" alt="MGM1991.jpg" style="margin: 0 auto; display: block;" /><!--[endif]--></span></p>Portraiturn:md5:ea13bf7427703cc6f0ddc7329f7d1d232013-05-24T17:20:00+01:002013-07-30T22:01:58+01:00AMPortraitBertrand de Saint-VincentClaude-Guy OnfrayFabrice LittaméFrançois RichardGérard LechaJacques BéalJim ArcadeRené Brassartécole Brassart <p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">« Au premier contact, on lit de prime abord sur le visage de cet homme une compréhension subtile des êtres et des choses et un pouvoir d’attention assez frappant. Une calme assurance émane de sa personne en toutes circonstances et une forte détermination, pour conduire quelque entreprise que ce soit, marque aussi le poids d’une personnalité hors pair. Cette solidité de patriarche chez un homme n’ayant pas atteint trente ans empreint toute sa personne d’une force virile et d’un charme indéfinissable qui donne confiance et qui attire. » (<a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9rard_Lecha">Gérard Lecha</a>, <em><a href="http://www.histoire-locale.fr/livre/DIVERS-0840.html">Micberth et le théâtre en question avec les dégagements autobusiaques</a></em>, mémoire 1972, éd. 1992)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">« (Micberth) a toujours été d’avant-garde, heurtant le jugement des professeurs d’ailleurs. (...) Je ne mesurais pas l’influence qu’il pouvait avoir sur des jeunes qui trouvaient en lui un révélateur. Je ne supposais pas son vécu. Et ce n’est qu’en voyant l’évolution de la jeunesse que je me suis aperçu que ce garçon-là avait été un précurseur, qu’il avait vu, senti et pensé lui-même, bien avant, ce que les autres pensent maintenant. » (René Brassart, fondateur de l’<a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_Brassart">école Brassart</a>, interview du 31 mars 1970)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="BACKGROUND-COLOR: white; FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; COLOR: rgb(51,51,51)"> « Il n’y a pas un seul de ses textes, poétiques, romanesques ou pamphlétaires, qui ne soit marqué du sceau de son existence foisonnante ; car pour écrire avec ce brio et cette fougue, sans doute lui faut-il une réelle maëstria littéraire, mais aussi – et surtout ? – une expérience confondante de la rudesse des hommes et des choses – celle de son enfance et de son adolescence – un sens aigu de la psychologie et des stratégies de l’action, une faculté de créer constante, un humour redoutable, une aptitude innée à la provocation. » (<a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Richard_(%C3%A9crivain)">François Richard</a> in <em>Regards sur Micberth</em> n° 3, printemps 1988)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma"><!--?xml:namespace prefix =" ""o" /--><!--?xml:namespace prefix =" ""o" /--><o:p><img style="MARGIN: 0 auto; DISPLAY: block" title="MGM___Anick_2_1964.jpg, mai 2013" alt="MGM___Anick_2_1964.jpg" src="http://micberth.org/dotcl/public/.MGM___Anick_2_1964_m.jpg" /></o:p></span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">« Le verbe micberthien est fleuri, tendre et truculent. Nous rions à nous tordre les tripes de ses calembours qui sont à l’asymptote de l’esprit le plus fin. Puis sans façon, nous discourons de l’analyse comparée de la symbolique et de la sémiotique, de la sexualité de la femme, du généralissime Cathelineau, de la poétique de Gaston Couté, du jazz, de Paracelse, des trichomonas, de l’âme, de la beauté de la plaine dans la lumière de l’aube. Rien n’est étranger à la verve de Micberth. » (<a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Claude-Guy_Onfray">Claude-Guy Onfray</a> in </span><em style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS">Regards sur Micberth</em><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS"> n° 2 janvier-février 1988)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma"><o:p> </o:p></span><span style="BACKGROUND-COLOR: white; FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; COLOR: rgb(51,51,51)">« Diogène habite un château : une réminiscence de l’Ancien Régime stylisée par un architecte à la dévotion de la bourgeoisie sucrière de Picardie. Pas de tonneau ! La niche des bas rouges à pelage noir qui grondent dans le courtil grillagé est vide. Le bonhomme est à l’intérieur, à la place du maître de céans. Tudieu ! Quelle métamorphose ! Derrière le bureau de la bibliothèque, il dresse sa haute</span><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; COLOR: rgb(51,51,51)" class="textexposedshow">stature jupitérienne. Raspoutine et frère Jean des Entommeurs, thaumaturge des niaiseries communes et pourfendeur d’institutions picrocholines. Michel-Georges Micberth, Breton de sang, Tourangeau par état civil, sanglé de cuir comme un corsaire et étolé d’un châle rouge comme un prêtre paillard, nous ouvre son glossaire abominable. Il y a quarante ans qu’il s’adonne au jeu de massacre verbal à la tronçonneuse. » (Jim Arcade pour <em>L’Echo des savanes</em>, n° 27, mars 1985)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="BACKGROUND-COLOR: white; FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; COLOR: rgb(51,51,51)"><img style="MARGIN: 0 auto; DISPLAY: block" title="MGM1985.jpg, mai 2013" alt="MGM1985.jpg" src="http://micberth.org/dotcl/public/.MGM1985_m.jpg" /></span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="BACKGROUND-COLOR: white; FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; COLOR: rgb(51,51,51)">« Protégé par ses chiens « bas-rouge », cet ermite s’est réfugié dans son castel millénaire aux portes de la Thiérache</span><span style="BACKGROUND-COLOR: white; FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; COLOR: rgb(51,51,51)">, reconstruit au siècle dernier. Les murs de la belle demeure dans son habit de briques et de pierres sont hantés de dix mille volumes. (...) Sa pensée et son action comme poète, écrivain, responsable d’un théâtre d’avant-garde à Tours où il est né en 1945 ont même fait l’objet de plusieurs travaux universitaires. Grand seigneur avec sa chemise blanche ouverte, son blazer bleu marine, une écharpe beige autour du cou, il a tiré un trait sur ses premières activités. » (Fabrice Littamé in <em>L’Union</em> du 23 décembre 1995)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma"><o:p> </o:p></span><span style="BACKGROUND-COLOR: white; FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; COLOR: rgb(51,51,51)">« Anar, barbu et un rien mythique, (Michel) Georges Micberth est ce qu’on appelle un rebelle absolu. Nous sommes allés le voir dans son château, près de Paris. Personnage insolite, tonitruant, il nous a reçus dans son salon. Sur la cheminée trônaient des peluches, offertes par ses enfants... » (Bertrand de Saint-Vincent, article « Les rebelles sont parmi nous » in <em>Le Quotidien de Paris</em> du 2 juillet 1991</span><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; COLOR: rgb(51,51,51)" class="textexposedshow">).</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="BACKGROUND-COLOR: white; FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; COLOR: rgb(55,64,78)">« Une maladresse de ma part, il y a de ça quatre ans, m’a fait découvrir Micberth.Du fin fond de mon pays de « chauvache », un vide - sans doute incomparable pour ceux qui l’ont côtoyé - m’envahit. L’histoire lui reconnaîtra plein de choses. Moi, il m’a appris à lire.</span><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; COLOR: rgb(55,64,78)"> <span style="BACKGROUND: white">C’est con hein? Mais pour moi c’est une grande chose que l’histoire oubliera. » (Keven Berrigan, mars 2013)</span></span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="BACKGROUND-COLOR: white; FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; COLOR: rgb(55,64,78)">« La faculté d’indignation est le moteur de cet aristocrate. </span><em style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; COLOR: rgb(55,64,78)">« J’ai besoin de m’indigner constamment. Les gens qui sont incapables de s’indigner sont des gens morts. </em><span style="BACKGROUND-COLOR: white; FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; COLOR: rgb(55,64,78)">(Jacques Béal in </span><em style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; COLOR: rgb(55,64,78)">Le Courrier picard</em><span style="BACKGROUND-COLOR: white; FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; COLOR: rgb(55,64,78)"> du 3 mai 1991)</span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"> </p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><span style="FONT-FAMILY: TimesNewRomanPS; BACKGROUND: white; COLOR: #333333; mso-bidi-font-family: Tahoma"><o:p><br /></o:p></span></p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"> </p>
<p style="TEXT-ALIGN: justify" class="MsoNormal"><o:p> </o:p></p>