Regards sur Micberth - Mot-clé - Jacques Saint-CricqCe site est consacré à M.-G. Micberth (1945-2013) : sa vie, son œuvre, sa pensée.2024-03-18T20:50:19+01:00urn:md5:ac4b6ea9a30e8880b48c8c986eb72543DotclearTo be or not to be Charlieurn:md5:626e50fcb1b6aaea523f00688effc6e52015-01-25T18:09:00+00:002015-01-28T21:29:21+00:00AMIci et làActual-HebdoAFPAnne FrankautobusiaquescabuCabuCavannaCharbCharlie HebdoCopernicDelfeil de TonFrançois MitterrandHistoire localeJacques Saint-CricqJean MeunierKrasuckiL Echo des savanesLe Quotidien de Parismarche du 11 janvier 2015MicberthNathalie Saint-Cricqnouvelle droitePhilippe TessonRévolution 70Zidane <p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span class="textexposedshow"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">Lettre ouverte à M.-G. Micberth – Poste
restante – Paradis.</span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span class="textexposedshow" style="text-indent: 14.2pt;"><em><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« Celui qui, en soulevant la visière de sa gapette à
pompons, a dit que la vie n’était qu’un éternel recommencement, n’était pas
aussi pomme que ses pieds plats et sa vue en cul-de-basse-fosse le laissaient
paraître. »</span></em></span><span class="textexposedshow" style="text-indent: 14.2pt;"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;"> Fidèle à cet adage, vous disiez souvent que les loups
reviendraient dans nos campagnes, et que nous verrions des hordes barbares se
cacher dans les bois pour survivre, comme au Moyen Age. Vous ajoutiez que vous
ne seriez plus là pour assister à ce retour. La présence de <a href="http://www.leparisien.fr/espace-premium/oise-60/le-loup-rode-aux-portes-du-departement-04-10-2014-4185991.php">loups dans <st1:personname productid="la Marne" w:st="on">la Marne</st1:personname></a> était attestée à la
fin de l’année 2014 et on en recense environ 300 sur trente départements. Quant
aux hordes barbares, c’est pour bientôt ?</span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;">De nouveaux locataires ont dû vous
rejoindre. Vous connaissiez bien certains d’entre eux : </span><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Wolinski" style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS;">Wolinski</a><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;"> (</span><a href="http://www.voici.fr/news-people/actu-people/le-temoignage-bouleversant-de-maryse-veuve-de-georges-wolinski-550860" style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS;">Maryse</a><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;">,
très digne, lui a rendu un bel hommage), ou encore </span><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Cabu" style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS;">Cabu</a><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;">, </span><em style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS;">« le béquillant et talentueux échappé de la bande à Charlie »</em><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;">
(écriviez-vous en 1991). </span><a href="http://www.lequotidien.lu/charlie-hebdo-numero-un-de-la-provoc-diaporama/" style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS;">Charb</a><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;">, le boss du second « Charlie Hebdo »,
faisait-il de la surenchère à la provoc’, comme on le dit parfois, en lui
reprochant son « irresponsabilité » ? </span><a href="http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/01/14/polemique-dans-la-famille-charlie-hebdo_4556428_3224.html" style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS;">Delfeil de Ton</a><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;">, un vieux
collaborateur-fondateur du journal, le qualifie de « tête de lard »
et l’accuse d’avoir mené sa rédaction à la mort. En 1973, si mon souvenir est
bon, vous n’aviez pas de très bonnes relations avec le Delfeil en
question : </span><em style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS;">« Si Cavanna est
grand et beau (on le dit) et peut se permettre de griffer d’une plume tonique
la connerie et les laideurs de ce monde, Delfeil de Ton, lui, est un petit
gnome crachoteux qui passe sa vie à se venger de ses semblables pour compenser
ses refoulements d’insecte nuisible et doit donc se taire. »</em><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;"> A propos
de </span><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Cavanna" style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS;">Cavanna</a><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;">, justement... Un gars prudent, qui ne se battait pas pour des idées,
comme il disait, qui voulait juste faire rire dans l’atroce. Il avait refusé de
reprendre dans « Charlie Hebdo » votre pamphlet sur l’armée, selon
lui « une enfilade d’injures d’une violence telle que, si nous le
publiions, même en citant les auteurs, nous n’y couperions pas d’une nouvelle condamnation
en correctionnelle » (</span><em style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS;">sic</em><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;">, CH juillet
1979). Votre profession de foi aurait pourtant plu, à l’antimilitariste Cabu et
à tous ses fans : </span><em style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS;">« ...Pour
nous, l’armée est une entreprise de dévirilisation. Elle prépare l’appelé au
brevet supérieur de reptation : « Même s’il est con, le chef a
toujours raison ! » </em><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;">(publication intégrale dans « </span><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_R%C3%A9fractaire" style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS;">Le
Réfractaire</a><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;"> »). Pour info, on
parle de rétablir le service militaire obligatoire (suspendu en 1997), tout
spécialement pour nos « jeunes des banlieues ». Voilà qui vous fera
plaisir, vous qui avez aidé nombre de jeunes gens à y échapper et qui vous êtes
battu pour une armée de métier ! </span><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; text-transform: uppercase;">ç</span><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;">a
s’en va et ça revient...</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span class="textexposedshow"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;"><o:p><img src="http://micberth.org/dotcl/public/.Histoire_locale_012_m.jpg" alt="Histoire_locale_012.jpg" style="margin: 0 auto; display: block;" /> </o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;">Depuis le 7 janvier 2015, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Big_Brother">Big Brother</a> est
devenu fou ! <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Je_suis_Charlie">Être ou ne pas être Charlie</a> est LE choix fondamental auquel
les Français sont confrontés ici-bas. Plus que jamais, il faut surveiller son
langage. Sinon, sanction ! Ainsi, <a href="http://rue89.nouvelobs.com/2015/01/22/philippe-tesson-solution-seau-chiffon-257254">Philippe Tesson </a>(bientôt 87 ans) fait
l’objet d’une enquête pour « provocation à la haine » parce qu’il
aurait tenu des propos islamophobes à la radio. Non, vous ne rêvez pas, j’ai
bien dit Philippe Tesson, le dangereux activiviste, celui-là même qui vous
ouvrit les colonnes du « <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Quotidien_de_Paris">Quotidien</a> » en 1975 (Il fallait être culotté
à l’époque...) pour parler de la <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvelle_Droite_fran%C3%A7aise">nouvelle droite</a> : </span><em style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS;">« Est vraiment de droite celui qui
place l’homme dans son unicité originale, même s’il doit pour ce faire refuser
le groupe. Celui, enfin, qui admet le droit à la différence. (...) En 1975,
seule la destruction des institutions lui importe. Ni dieu, ni maître, ni Marx,
pourrait être sa devise. Il est pacifiste et révolutionnaire (révolution des
consciences). » </em><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;">Ah ! Le fameux « <a href="http://fr.wikiquote.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Mitterrand">droit à la différence</a> »,
attribué plus tard à ce cher Mitterrand... Les déboires de Philippe Tesson me
font penser aux plaintes de </span><st1:personname productid="la Licra" w:st="on" style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS;">la
Licra</st1:personname><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;"> et du MRAP dont vous fûtes régulièrement l’objet. Juste
pour le plaisir, j’évoquerai la visite du chef de la brigade de gendarmerie
voisine venu prendre votre déposition en 1998, suite à vos écrits « racistes » dans
« Histoire locale</span><span style="text-indent: 18.9333324432373px; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: rgb(255, 255, 255);"> ».</span><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;"> Je cite la phrase coupable : </span><em style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS;">« Depuis la remarquable prestation de <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Zin%C3%A9dine_Zidane#Coupe_du_monde_1998_-_Euro_2000_:_la_cons.C3.A9cration">Zidane</a> au Mondial, on fait
croire journellement dans les médias que chaque Français se pose la question
suivante : pourquoi pas un futur président de <st1:personname productid="la R←publique" w:st="on">la République</st1:personname> d’origine
arabe ou kabyle, bantoue, mau-mau ? »</em><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; background-color: white;"> Fort heureusement, la
plainte n’eut pas de suite : le chef de brigade vous avait lu dans
« L’Echo des savanes ». Comme quoi, il y a des rebelles un peu
partout...</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span class="textexposedshow"><em><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« Un seul mot mal choisi peut, dans notre société
moyenâgeuse et policière, réduire à sa plus minable expression la vie publique
d’hommes imprudents. Dire merde à un magistrat équivaut à deux ou cinq ans de
prison ferme ; douter de son honorabilité, à quelques centaines de
milliers d’A.F. d’amende. Mais derrière la magistrature, il est des hommes
influents qui la pourrissent et la déterminent. »</span></em></span><span class="textexposedshow"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">, écriviez-vous en 1973. On sentait le
« vécu ». Et à propos de Big Brother, dont je parlais plus haut,
juste une anecdote. Depuis le terrible attentat du 7 janvier, dans la presse,
comme chez les politiques, nous avons vu se lever les Croisés de Charlie. Parmi
eux, citons </span></span><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;"><a href="http://blogs.mediapart.fr/blog/gerard-becquet/130115/reperer-et-traiter-ceux-qui-ne-sont-pas-charlie-la-traque-est-ouverte-la-france-est-mure-les-med">Nathalie Saint-Cricq</a>, responsable du
service politique de France 2, qui déclare : « Il faut repérer,
traiter, intégrer ou réintégrer dans la communauté nationale » ceux qui ne sont
pas Charlie. Certes, la pauvre petite a des excuses ! Son grand-père, <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Meunier">Jean
Meunier</a> (ex-député maire de Tours et ancien ministre socialiste, chef
historique de <st1:personname productid="la R←sistance" w:st="on">la Résistance</st1:personname>
régionale et fondateur de « <st1:personname productid="La Nouvelle R←publique" w:st="on"><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Nouvelle_R%C3%A9publique_du_Centre-Ouest">La Nouvelle République</a></st1:personname> »), avait
qualifié d’« inadmissible » votre humour noir à propos <span class="textexposedshow">d’Anne Frank
dans « Révolution 70 », en juin 1968. Aussi, avec son gendre (<a href="http://www.strategies.fr/guides-annuaires/nominations/r83037W/jacques-saint-cricq-president-du-conseil-de-surveillance-de-la-nouvelle-republique-du-centre-ouest.html">Jacques
Saint-Cricq)</a>, le grand-père menaçait-il la pauvre enfant et son petit frère, à chaque bêtise, d’appeler les «<a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Mouvement_autobusiaque"> autobusiaques</a> » dont vous étiez alors le chef de
file. Vous voyez, tout traumatisme laisse des traces.</span></span><span style="font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt; background-color: white;"> </span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span class="textexposedshow"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">La minute de silence (Respect), le deuil
national, les cloches de Notre-Dame de Paris à toute volée (Tous
chrétiens ?), <st1:personname productid="La Marseillaise" w:st="on"><em>La Marseillaise </em></st1:personname>entonnée à l’Assemblée nationale
(« Marchons, marchons, qu’un sang impur abreuve nos sillons ! » Hum !), <a href="http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2015/01/14/machomarche-contre-la-terreur/">le grand défilé de nos dirigeants « démocrates »
</a>(Superbe mise en scène. Pourquoi riez-vous ?), les hommages, les honneurs distribués à nos
dessinateurs-héros, les abonnements au journal, etc. Elle fut très belle la
grande fête pour la « li-ber-té d’ess-pression » le 11 janvier
dernier, non ? J’espère que vous en avez eu quelques échos au ciel, avec
des photos. La marche républicaine a réuni <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Manifestations_des_10_et_11_janvier_2015">des millions et des millions de
participants</a>. (Même que <a href="http://www.cgt.fr/Portrait-d-Henri-Krasucki.html">Krasucki</a> il a pas dû pouvoir compter jusque-là !
Comprenne qui pourra.) Un reporter de « Charlie » encore vivant a
parlé de « <a href="http://bellaciao.org/fr/spip.php?article144562">bal des faux-culs</a> ». Y eut-il 44, 50, 60 chefs d’Etat et
de gouvernement dans cette fameuse marche républicaine ? Les chiffres
diffèrent selon les médias. D’aucuns ont bien eu <a href="http://citizenpost.fr/2015/01/ces-dirigeants-politiques-qui-ne-respectent-pas-la-liberte-de-la-presse-mais-qui-ont-marche-pour-charlie/">quelques doutes sur la liberté
de la presse</a> dans certains pays représentés : « </span></span><span style="font-family: TimesNewRomanPS;">Il
est à craindre que, de retour dans leurs pays, ces manifestants officiels
continuent leurs politiques répressives »</span><span style="font-family: TimesNewRomanPS;">. </span><span class="textexposedshow"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">Mais plus on est de
fous, plus on rit ! On verra bien demain. Pour finir, les méfaits du
terrorisme n’étant quand même pas une découverte de 2015, je voudrais (toutes
proportions gardées) faire un retour en arrière. Attentat du 3 octobre 1980
contre la synagogue de la <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Attentat_de_la_rue_Copernic">rue Copernic</a>, à Paris : 4 morts, 40 blessés (contre
12 morts 8 blessés) et la mort de plusieurs centaines de personnes évitée car
le rabbin était en retard dans son service. Quelques jours plus tard, le MRAP
organise (comme d’hab’) entre Nation et République une grande manifestation de
protestation (200 000 participants) à laquelle se joignent des
personnalités politiques. Le 8 octobre, l’<a href="http://www.afp.com/fr/">AFP</a> diffuse aux rédactions votre
communiqué de presse : <em>« L’écoeurante
exploitation des quatre victimes de la rue Copernic par les partis politiques
est, à mes yeux, la plus détestable perversion idéologique qu’il m’a été donné
de voir depuis bien longtemps. On oublie un peu vite que la démocratie
républicaine a été instituée sur les cadavres de centaines de milliers de
Français, pour la plupart innocentes victimes d’une répression aveugle qui
assassinait au nom des droits de l’homme. Que faut-il vraiment redouter :
la poignée de méprisables nostalgiques du nazisme dont la culpabilité n’a pas
encore été établie ou la cohorte moutonnière et haineuse qui hurlait la peur de
sa propre faiblesse ? Le 7 octobre 1980, des centaines de milliers de
personnes ont fait renaître en France et pour des décennies
l’antisémitisme. »</em></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span class="textexposedshow"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;"><o:p> </o:p></span></span><span style="font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt; background-color: white;">Ah ! Comme j’aurais aimé parler avec
vous de Charlie !</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span class="textexposedshow"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;"><o:p> </o:p></span></span><span style="font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt; background-color: white;">Tous vos amis terriens vous embrassent.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span class="textexposedshow"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;"><o:p> </o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span class="textexposedshow"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">Sources :</span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span class="textexposedshow"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« Juste en passant » in <em>Histoire locale</em>, été 1998.</span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt; background-color: white;">« Radio libre », in </span><em style="font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt;">Charlie Hebdo</em><span style="font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt; background-color: white;"> n° 453 bis , 19
juillet 1979.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt; background-color: white;">« Nier l’armée », in </span><em style="font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt;">Le Réfractaire</em><span style="font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt; background-color: white;"> n° 31,
août-septembre 1977.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span class="textexposedshow"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« Vers une nouvelle droite », in
<em>Le Quotidien de Paris</em>, 7 novembre
1975.</span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span class="textexposedshow"><span lang="EN-GB" style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« Edito » in <em>Actual-Hebdo</em> n° 39, 24 novembre 1973.</span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span class="textexposedshow"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;">« Comment faire intellectuel sans
avoir la migraine » in <em>Actual-Hebdo </em>n° 23,
19 mai 1973.</span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span class="textexposedshow"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;"><o:p> </o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span class="textexposedshow"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;"><o:p> </o:p></span></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span class="textexposedshow"><span style="font-family: TimesNewRomanPS; background: white;"><o:p> </o:p></span></span></p>