Regards sur Micberth - Mot-clé - MussoliniCe site est consacré à M.-G. Micberth (1945-2013) : sa vie, son œuvre, sa pensée.2024-03-18T20:50:19+01:00urn:md5:ac4b6ea9a30e8880b48c8c986eb72543DotclearVers une nouvelle droiteurn:md5:d144d07cf3f283580a189f3d30ea945e2013-10-20T11:54:00+01:002023-11-02T11:27:58+00:00AMLa penséeDailymotiondroiteF. RichardFR3François MitterrandGeneviève BianquisLe Nouveau PalLe Quotidien de ParisMai 68MicberthMussoliniNDFNietzschenouvelle droiteNouvelle Droite françaisePetite SommeRévolution droitisteTribune libre <p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS">« Nietzsche rêve de ces gentilshommes
nouveaux, moitié penseurs, moitié hommes d’action, qui ne seront pas
populaires, qui ne pourront que faire horreur par leur dureté, leur orgueil et
leur morgue, dans un monde orienté tout autrement, mais qui mèneront leur
groupe humain vers la grandeur. Ils auront à faire de rudes besognes
d’épuration et d’émondage ; descendant dans les marécages de la pensée
basse et vulgaire, de la dégénérescence physique et mentale, ils risqueront parfois
de périr de dégoût et de pitié, si leur coeur trop tendre est encore capable de
ce sentiment. » (Geneviève Bianquis. « Nietzsche : par-delà le
bien et le mal »)</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS"> </span><span style="font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt;">Micberth avait choisi cette citation en
introduction de sa Tribune libre « Vers une nouvelle droite »
diffusée sur FR3 le 20 avril 1976. Il était alors invité en tant que directeur
politique de </span><st1:personname productid="la Nouvelle Droite" w:st="on" style="font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt;"><st1:personname productid="la Nouvelle" w:st="on">la Nouvelle</st1:personname> Droite</st1:personname><span style="font-family: TimesNewRomanPS; text-indent: 14.2pt;">
française, mouvement créé dans la clandestinité trois ans plus tôt, qui sortait
enfin de l’ombre pour une campagne de « communication » dans la
presse écrite, à la radio et à la télévision.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS">Pourquoi créé <em>dans la clandestinité</em> ? C’est que le but avoué de son
fondateur était la destruction de l’Etat républicain et que le dépôt officiel
de ses statuts à la préfecture n’était pas envisageable. Une association libre
(selon l’article 2 de la loi du 1<sup>er</sup> juillet 1901) avait donc vu le
jour.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS">Nous ne citerons pas ici intégralement les
premiers statuts de <st1:personname productid="la NDF" w:st="on">la NDF</st1:personname>,
qui figurent par ailleurs dans le manifeste « Révolution droitiste ».
Précisons que parmi les buts énumérés, figuraient entre autres les préceptes
suivants :</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">– </span><span style="font-family:TimesNewRomanPS">Dénoncer
en toute occasion la falsification de l’Histoire de <st1:personname productid="La France" w:st="on">la France</st1:personname> entreprise par les
idéologues républicains. Démystifier la propagande qui sous-tend la pédagogie
officielle</span></p>
<p class="MsoNormal" style="margin-left:14.2pt;text-align:justify"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">– Provoquer partout où ce sera possible la désobéissance
civile</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">– Pratiquer une infiltration idéologique permanente qui
hâtera le dysfonctionnement des institutions républicaines, le pourrissement de
tous les secteurs publics</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">– Agir sur les mentalités de nos contemporaines pour
accélérer dégoût et mal vivre propres à notre modernité</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">– S’efforcer de faire régner une nouvelle sagesse universelle
qui ne soit pas une morale de la résignation et du sens commun</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">– Développer et préserver à tout prix une élite qui s’interdise
d’asservir l’homme, mais qui soit capable de répondre aux exigences immenses de
ce temps.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">Il était entendu qu’accentuer le délabrement des êtres et des
choses, suite à l’échec de l’aventure républicaine aboutirait à « un état
pré-révolutionnaire favorable à la morale néo-droitiste, c’est-à-dire à la
résurgence d’une humanité aristocratiste ». </span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white"><o:p><img src="http://micberth.org/dotcl/public/mgm_1980.jpg" alt="mgm_1980.jpg" style="margin: 0 auto; display: block;" /> </o:p></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">Lorsqu’elle naît et devient publique deux à trois ans plus
tard, en pleine ascension de la gauche, <st1:personname productid="la Nouvelle Droite" w:st="on"><st1:personname productid="la Nouvelle" w:st="on">la Nouvelle</st1:personname> Droite</st1:personname> française est
saluée par des haussements d’épaules et des ricanements. Comment peut-on oser
se dire de droite ? Pour Micberth, la société massifiée qui s’annonce déjà est
un consortium de bavards et d’assistés en passe d’étouffer toutes les forces
vives du pays, au profit de revendications maximalistes et de refrains
d’utopie. Le terrorisme égalitaire qui sévit alors, notamment dans
l’enseignement, fait peser sur l’avenir un handicap géant.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">A la question : « Qui, aujourd’hui, est vraiment de
droite ? », il répond : <em>« Est
vraiment de droite à notre époque, celui qui refuse le sens de l’histoire, qui
n’admet pas la démocratie indirecte, <st1:personname productid="la R←publique" w:st="on">la République</st1:personname> bâtie sur les cadavres de centaines de
milliers de Français ; qui nie en bloc les lois républicaines, <st1:personname productid="la Constitution" w:st="on">la Constitution</st1:personname>, les
institutions bricolées par les petits-enfants de Robespierre et rejette en fait
le dieu-peuple. »</em></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><em><span style="font-family:TimesNewRomanPS;
mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;background:white">« Est vraiment
de droite celui qui place l’homme dans son unicité originelle, même s’il doit
pour ce faire refuser le groupe. Celui enfin qui admet le droit à la différence</span></em><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white"> (NDLR. Ce fameux « droit à la différence » qui
sera attribué à F. Mitterrand après <st1:metricconverter productid="1981, a" w:st="on">1981, a</st1:metricconverter> bien été réclamé par Micberth et la
première fois dans « Le Quotidien de Paris » du 7 novembre 1975 très
exactement.)</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><em><span style="font-family:TimesNewRomanPS;
mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;background:white">« Nous voilà
loin des images d’Epinal brossées à grandes giclées de balai hygiénique par la
gauche marxiste qui, elle, annihile l’homme au profit de l’Etat
souverain. »</span></em></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><em><span style="font-family:TimesNewRomanPS;
mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;background:white">« Historiquement,
l’homme de droite est réfractaire à tous les pouvoirs. Il consent à
l’obéissance légitime, il se révolte ou il meurt.</span></em></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><em><span style="font-family:TimesNewRomanPS;
mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;background:white">« En 1976,
seule la destruction des institutions lui importe. Ni dieu, ni maître, ni Marx
est sa devise. Il est pacifiste et révolutionnaire. Je parle de révolution des
consciences, bien entendu. »</span></em></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">A la question : « Votre mouvement m’apparaît plutôt
philosophique que politique. Votre vision d’un éventuel devenir de l’homme
n’est-elle pas utopique ? », Micberth répond : <em>« Toute école philosophique devient
mouvement politique quand les hommes qui l’animent s’engagent dans l’action
directe, paient de leur temps, de leur liberté et parfois de leur peau, pour le seul triomphe des idées. </em>(NDLR :
Micberth a effectivement payé de sa liberté à Fresnes, en 1974 et les membres
alors médiatisés du bureau politique ont subi des tracasseries
« administratives » dont ils subissent les répercussions en 2013), <em>« Tristan Bernard disait : Je ne
hais que la haine » ; et moi j’ajoute : « Je ne hais que
ceux qui ne savent plus haïr ». Il est inconcevable d’accepter, d’accepter
encore, d’accepter toujours !</em></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><em><span style="font-family:TimesNewRomanPS;
mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;background:white">« La servilité
nous dégoûte. C’est pourquoi nous prônons l’apologie de la désobéissance.
Désobéir devrait être un réflexe permanent chez l’homme, et cela dès l’enfance.
Si malheureusement, il nous faut des idoles, autant qu’elles soient étoffées,
qu’elles aient du panache. »</span></em></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><em><span style="font-family:TimesNewRomanPS;
mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;background:white">« En voilà
assez d’obéir à de pâles humanoïdes, pantins orgueilleux, articulés par
quelques rusés qui se tiennent dans l’ombre !</span></em></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><em><span style="font-family:TimesNewRomanPS;
mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;background:white">« Utopiques,
bien sûr que nous le sommes ! Passionnément. C’est l’un des derniers
droits qui nous reste. »</span></em></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white"><o:p> <img src="http://micberth.org/dotcl/public/Revolution_droitiste.jpg" alt="Revolution_droitiste.jpg" style="margin: 0 auto; display: block;" /></o:p></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">Lorsque le très parisien « été de la nouvelle
droite » éclate, en 1979, <st1:personname productid="la NDF" w:st="on">la
NDF</st1:personname> a déjà six ans d’âge et les idées de son fondateur font
leur chemin. <em>« Cette sortie en
fanfare de la crypte a influé sur notre stratégie. En quelques mois,
l’actualité nous fit risette. », </em>écrit Micberth<em>. « L’essentiel, pour nous, fut de constater qu’une partie de nos
idées trottinait autour du monde et qu’ici, en France, le gouvernement s’en
inspirait. »</em></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">« Micberth veut reconstruire <st1:personname productid="La France" w:st="on">la France</st1:personname> sociale et politique
selon un ordre aristocratique » écrit François Richard, qui précise :
« Une méritocratie, en quelque sorte, seule forme de gouvernement
acceptable, selon lui, parce que toujours susceptible d’être remise en question
en fonction des résultats obtenus par les gouvernants et de leur capacité à
faire face aux situations les plus critiques. »</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">Il est certain que la démocratie demeure une religion
officielle qu’on ne saurait remettre en question voire critiquer tout
simplement sans s’exposer à la réprobation générale ou à l’exclusion. Ce fut le
lot de Micberth durant toutes ces années de combat pour une nouvelle définition
de la droite. A la question : « Et ne croyez-vous pas que cet
anarchisme de droite dont vous vous faites le porte-parole, peut s’entendre
comme une résurgence du fascisme <em>»</em>,
il répondait : <em>« Oh que
non ! Mussolini est sorti de la gauche. Nos professions de foi balaient
d’un coup tous les tenants des ordres nouveaux, les nationaux-socialistes, les
fascistes de guinguettes, tous ces jocrisses bigarrés inconsistants, récupérés
à la première occasion par le monde de l’argent. »</em></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">Et si l’on ajoute que les notions d’excellence, de
légitimité, d’exemplarité sous-tendaient les bases de cette nouvelle droite, on
comprend qu’elle ait connu beaucoup de détracteurs. <st1:personname productid="la Nouvelle Droite" w:st="on"><st1:personname productid="la Nouvelle" w:st="on">La Nouvelle</st1:personname> Droite</st1:personname> française
disparut officiellement en 1986. Pour retrouver ses préceptes et enseignements,
il existe un essai (« Révolution droitiste ») de nombreux articles, (<em>Révolution droitiste</em>, le <em>Nouveau Pal</em>, presse nationale
quotidienne et hebdomadaire), entretiens (FR3, <em>Nouvelle Elite vidéomagazine</em>, chroniques (Radio Philalèthe) sur
lesquels nous auront l’occasion de revenir.</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><em><span style="font-family:TimesNewRomanPS;
mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;background:white"><o:p> </o:p></span></em><em style="text-indent: 14.2pt;"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;
mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;background:white">« L’homme de
coeur et d’esprit, l’aristocrate de conviction, parle de ses devoirs ;
cette lie nous rebat les oreilles de ses droits. La nullité du plus grand
nombre est une insulte à l’individu intelligent autant qu’à la civilisation ou
à l’histoire de l’évolution savante appliquée à la vie quotidienne des
communautés humaines. </span></em><span style="text-indent: 14.2pt; font-family: TimesNewRomanPS; color: rgb(51, 51, 51); background-color: white;">» (Micberth,
préface à « Petite Somme contre les gentils »)</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><em><span style="font-family:TimesNewRomanPS;
mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;background:white"><o:p> </o:p></span></em></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
text-transform:uppercase;background:white">Sources <em>:</em></span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">« <a href="http://www.histoire-locale.fr/livre/DIVERS-0691.html">Dix ans après Révolution droitiste</a> » (M.-G.
Micberth, F. Richard, 1991)</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">« <st1:personname productid="la Nouvelle Droite" w:st="on"><st1:personname productid="la Nouvelle" w:st="on">La Nouvelle</st1:personname> Droite</st1:personname>
française a dix ans » (Dossier de presse, archives NDF, 1983)</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-indent: 18.933332443237305px; text-align: justify;"><span style="text-indent: 0; color: rgb(51, 51, 51); background-color: white; font-family: TimesNewRomanPS;">« <a href="http://www.histoire-locale.fr/livre/DIVERS-0017.html">Petite Somme contre les gentils</a> </span><span style="text-indent: 0; color: rgb(51, 51, 51); background-color: white;">» </span><span style="background-color: rgb(255, 255, 255); color: rgb(51, 51, 51); font-family: TimesNewRomanPS;">(M.-G. Micberth, 1995)</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">« Pardon de ne pas être mort le 15 août 1974. De Mai 68
à l’affaire des chèques Pompidou » (Micberth, 1977).</span></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white">Allocution télévisée de M.-G. Micberth « Vers une
nouvelle droite », 20 avril 1976, reprise sur Dailymotion.</span></p>
<br />
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><em><span style="font-size:10.0pt;font-family:
TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;background:white"><o:p> </o:p></span></em></p>
<p class="MsoNormal" style="text-align:justify;text-indent:14.2pt"><span style="font-family:TimesNewRomanPS;mso-bidi-font-family:Tahoma;color:#333333;
background:white"><o:p> </o:p></span></p>
<p class="MsoNormal"><span style="background:white"><o:p> </o:p></span></p>