Une fois n'étant pas coutume, je viens de terminer le dernier livre de Philippe de Villiers Le Jour d'après. Et j'avoue que la lecture de ce brûlot me laisse pantoise et rêveuse. Pourquoi cette impression de déjà lu, entendu, vécu ? Le sentiment étrange de lire Micberth, 40 ou 50 ans plus tard.  […]