En janvier dernier, quelques semaines avant son départ, Micberth écrivait : « La neige m'épatera toujours, j'ouvre les fenêtres de mon bureau et je tombe sur ce spectacle d'enfant. Même vieux con, je me surprends à sourire ; le hachage du temps qui passe n'a pas entamé ma candeur de petit d'homme. […]